La terre de château Gombert en Sud de France
Elle est située au Nord de Marseille, au pied de la chaîne montagneuse de l'Étoile. La superficie de son territoire est d'une trentaine de kilomètres carrés. Ses limites d'origine passent par un périmètre que nous pouvons estimer comme parcourant la limite entre Plan de Cuques et Allauch, La Croix Rouge, La Rose, Saint Just, Saint Jérome, Saint Mître, Château Gombert.(Cf. Détail dans rubrique "Le Terroir")
Première appelation du lieu.
Il ne fait presque aucun doute que l'origine de l'appelation de "Château", ait été donnée sous l'occupation romaine, au tout début de notre Ére. Lors de l'occupation des Gaules, les romains avaient pour habitude de maintenir des éléments de garnisons plus ou mons importants (quelques dizaines à plusieurs milliers d'individus), dans ce qui étaient alors des "castrum". Sorte d'enclos refuges, permettant l'observation d'une vaste étendue de plaines, et où la vie militaire au quotidien se résumait à sa plus simple expression. Nous trouvons par ailleurs de nombreux sites dérivés de "castrum" dans les noms de lieux en France. Notons au hasard le site de Montéglin, "castrum" surplombant la vallée du Buëch, qui a été rattaché à Laragne. D'autres lieux existent....
Mais cela ne nous dit pas pourquoi un tel nom a été donné à ce territoire...., et nous ne saurons sans doute jamais avec certitude.
Certains historiens mentionnent une occupation seltoligure bien antérieure aux romains.
IMPORTANT
" Les renseignements concernant les Gombert, antérieurement au XIVème siècle sont trop fragmentaires pour qu'on puisse en faire étal en vue d'une filiation.
On ne suit guère la descendance qu'à partir du moment où les Gombert s'établirent à Sisteron.
Dans l'histoire de cette ville par M. de Laplane, on trouvera plusieurs citations les concernant. "
Source : BnF - Les Maintenues de Noblesses en Provence - Belleguise
Voir Article en suivant
Les premières indications sur l'origine même, se trouvent dans les différentes évolutions du paysage de cette région de Marseille.
L'appellation CASTELLUM HUMBERTI, semble indiquer (*) que ces terres étaient en partie occupés par les romains (leur présence est attestée sur les hauteurs du chemin du Cavaou, afin de surveiller simultanément les mouvements dans les contreforts de Sainte Marthe, ainsi que du vallon de la Bourdonnière, depuis l'actuel Plan de Cuques. Ils observaient aussi depuis les hauteurs de La Marie.
(*) Indications mentionnées dans l'Attraction des Montagnes du Baron de Zach en 1810, ainsi que dans le tome 2 des statistiques du Département des Bouches du Rhône, Comte de Villeneuve 1824.
Ce n'est qu'après la domination des Goths, puis des Sarrasins (IXème siècle), que les habitants de la ville, totalement à la merci de nouvelles incursions, se retranchèrent sur des hauteurs plus propices à leur défense.
Le terme de Castellum, issu d'un contexte militaire abandonné, et parfois totalement en ruine, prenait alors son sens. La matière était trouvée, il ne restait qu'à rebatir selon les techniques de l'époque.
Il ne faut pas se méprendre. Ces "Castellum" n'étaient pas de chateaux ou batisses fortifiés, capable de tenir retranchées des populations importantes, mais ils étaient suffisamment dissuasifs pour tenir quelques assaillants à distance.
Au début du XIIème siècle, il existait dans ce quartier (nous dirions "Terroir", propriété du Chevalier d'Aubagne), un château et une église. Une bulle du pape Innocent II (*), du 18 mai 1141, mentionne : podium quod castellum gumberti vocatur (1).
Cependant, une autre bulle du pape Anastase IV (**), mentionne en 1153 : podium qui castellum guimberti vocatur (2).
On notera que l'ensemble des parcelles composant le Terroir de Château Gombert a été progressivement racheté par le Chapître à partir du XIIème siècle. Elles ont ainsi pu être accordées en tant que Terres Seigneuriales non titrées, à de nouveau acquéreurs, selon ses propres conditions....
(*) Pape de 1130 à 1143.
(**) Pape de 1153 à 1154. Sources : (1) Archives de l'Évêché.
(2) Bularium Romanum - Caroli Cocquelines T2 ab An MLXL ad MCLXXXL.
On notera un singulier raccourci, mentionné dans la terminologie effectuée par Belleguise (1) au 17ème siècle, accordant une terre à Guillaume Gombert (Cf. Cartulaire de St Victor), qui allait devenir rapidement Château Gombert, sous Pierre, de même nom. L'alinéa qui suit la définition d'origine de Gombert est assez savoureux. Cf en marge.
La prise de possession du quartier (propriété de l'Évêque par bulle d'Innocent II en 1141), par le sieur Gombert, ne se fit que 12 années après la Bulle d'Innocent II, par une Bulle du pape Anastase IV, 168ème pape du nom.
On notera aussi, que le pape Anastase IV, par une bulle du 30 décembre 1153, fit interdiction de construire chateau, tours, fortifications ou autre, sur le territoire de Château Gombert, sauf autoristation du premier évêque de Marseille, (Pierre - 1153) (2)
L'intervention d'un Gombert dans le quartier dénommé antérieurement '' Gumberti '', '' Humberti '', voire '' Humbert '', ne serait alors que le fruit d'un heureux hasard ?
Aux XIIème, XIIIème & XIVème siècle, il était d'usage courant, à défaut de recevoir des terres, château, bourgade et autres, par une haute lignée, de les acquérir.
Ces biens étaient alors désignés sous le nom de " Terres seigneurales non titrées".
Les nouveaux noms ont été ajoutés ou substitués aux noms patronymiques d'origines. Ce qui semblerait étre le cas pour le nom du quartier désigné sur les cartulaires, lors de la prise de possession par le premier Gombert (3).
Nous vous invitons à consulter la rubrique " Bibliographie " / " Impression de recherches " pour avoir une idée plus précise concernant les prises de possession des terres....., et la création d'un nom patronymique (Gombert, Montezan-Lombardon, Samatan...)
" C'est ainsi qu'en 1200, " Gombert " donna le nom de Château Gombert à une terre dont l'appelation (Terres de) Gombert existait auparavant, concernant un terroir beaucoup plus important ; terroir morcellé par ventes successives. Un autre Gombert (Gantelme), donna le nom d'Albaron (près d'Arles) à une terre, appelée plus tard "seigneurie" (1600)." On notera que ce fief est issu d'un Gombert originaire de Bretagne, du fief " Baron ". Origine communément admise.
A NOTER : Alfred SAUREL ne fait aucun lien entre l'origine de Château Gombert, d'avec un quelconque personnage ayant pu donner son nom à un territoire qui portait déjà ce nom en 1141. Source : BnF - Statistiques de Marseille - T34 - 1872
A la lecture de divers documents, l'origine du village est bien souvent donnée, comme étant érigé sur ou proche du Collet Redon.
Aucune fouille organisée n'a permis d'étayer à ce jour cette hypothèse avec certitude (4).
Cependant, Lazare de Cordier mentionna en 1653 dans le livre deux, chapître quatre de son Manuscrit (5) " Saint Marcel (6), saint Julien, Château Gombert et Mazargues, sous le vocable d'oppidia ou villages principaux du Territoire de Marseille. Ce sont des noms donnés par les romains à des lieux élevés, fortifiés, servant de refuges publics.
Collet Redon est signalé comme oppidum comportant des céramiques romaines. En surface, nous trouvons des amphores massaliètes, dolia, et des céramiques non tournées. Le site est connu antérieurement comme habitat protohistorique (7) Des murs sont encore visibles, ainsi que deux murailles qui barrent le site à mi-pente (8).
En 1730, Une carte dressée par Chevallier de Soissons mentionne un "Colet de Château Gombert", à l'entrée de Château Gombert.
Pour mémoire :
Durant l'année 1916, le baron de Gombert consulta à titre privé et avec assiduité, les Archives Départementales des Bouches du Rhône, afin d'entreprendre une ''Monographie de Château Gombert''. Les raisons détaillées n'ont pas été apportées à l'archiviste, comme il était d'usage (9).
(1) Source : Bnf. Les Maintenues de Noblesse en Provence ed. 1923.
(2) Source : L'Antiquité de l'Église de Marseille 1747.
(3) Source : Bibliothèque ouest Provence. Armorial de la Provence & du Comtat Venaissin - Séverin Icard.
(4) Source : Bnf. Livre d'Or de Marseille 1907.
(5) Source : Bnf. Mémoire de l'Académie - 1911. L'Iconisme
(6) En 1054, Le quartier de Saint Marcel était appelé ''Castellum Massiliense'', prébende affecté à un chanoine de la Major.
(7) Période correspondant à l'âge de fer et l'âge de bronze.
(8) Source : Études Massaliètes - B. Bouloumié.
(9) Source : Bnf. Rapport du Conseil Général.
Août 1539. L’ordonnance de Villers-Cotterêts précise la façon dont les registres paroissiaux doivent être tenus et ordonne aux curés de les déposer chaque année au greffe du bailliage (ou de la sénéchaussée) auquel ils sont juridiquement rattachés.
Mai 1579. L'ordonnance de Blois va prendre des dispositions complémentaires inspirées par le concile de Trente, en matière de législation matrimoniale.
Tout ce qui concerne les naissance, baptêmes, mariages & décés a été harmonisé depuis François 1er.
Auparavant, au XIVe siècle, il existait des registres ( livres de comptes dans lesquels les curés notent les dons qu'ils perçoivent lors des mariages et / ou sépultures ) ; rien de bien fiable pour suivre une lignée, et donc la cautionner.
Acte de vente de Château Gombert
Une première source nous fait faire un bond de plus de huit cent ans. Il s'agit de l'acte de vente du lieu par Lambert d'Aubagne à Raymond de Peyrolles, en 1201.
A rapprocher des chroniqueurs successifs...
Difficile de démêler le vrai du faux, voire, de la Légende..
D'autant que tous les chroniqueurs s'accordent sur la base d'un même texte plusieurs fois remanié....., voire copié en grandes parties !
Dans la revue éditée périodiquement en 1866 (P. 263, Revue de Marseille & Provence), Fernand Meynier donne une première hypothèse ( en se référant à Grosson (*)), quant à l'origine du nom de Gombert. En poursuivant la lecture, nous observons une autre origine venant annuler sa première (p. 606) ; d'où la question : pouquoi avoir conservé le texte de la première ?....
(*) Dauphin Humbert
Gombert prend le nom de Gombert...
Bien que La grande majorité des écrits mentionnent que des Gombert soient à l'origine du nom de Château Gombert, une autre hypothèse tout aussi plausible peut être acquise.
Il était d'usage, lorsque l'Église avait le pouvoir Spirituel et Temporel, que les nouveaux "possédant bien prennent le nom du lieu qu'il se voyaient octroyer".
Voir : Montezan &tc...
C'est ainsi que plusieurs nobles possèdaient dans leurs noms plusieurs titres après celui d'origine....
C'est dans le XIIème siècle que commença, dans la classe noble, l'usage de l'hérédité des noms, empruntés le plus souvent aux fiefs, aux seigneuries ou aux localités.
La particule ‘’ de ‘’, qui précède le nom de ces familles, indique que ces localités leur appartenaient, soit comme fief, soit comme propriété privée.
Dans la pensée des gens qui vivaient à cette époque, la qualification de ‘’ seigneur de ‘’ était toujours sous-entendue. ../..
Un nom de terre précédé de la particule n'a jamais été une preuve de l'ancienneté, ni même de la noblesse de la famille qui le portait.
L'édit de 1579 déclarait que « les roturiers ou non nobles, achetant fiefs nobles, ne seraient pour ce anoblis ni mis au rang des nobles, de quelque revenu et valeur que fussent les fiefs par eux acquis. »
On aurait cru injurieux, dit Belleguise, que la terre faite pour le service de l'homme relevât sa condition. C'était la conséquence du principe que les terres qualifiées, pour conserver le titre qui y était attaché, étaient inaliénables et substituées en vertu de leur érection.
L'extinction de la race entraînait celle du titre, si l'on n'obtenait pas de nouvelles lettres-patentes. Cependant, malgré ces défenses, les bourgeois qui achetaient un fief en prenaient presque toujours le nom, sans avoir pour cela le droit de siéger parmi les nobles, dans les assemblées des Etats-Généraux et sans jouir des autres prérogatives accordées aux gentilshommes, car la noblesse était le prolongement de la souveraineté et de l'histoire. Ils devaient, notamment, payer au roi le droit de franc-fief, qui était d'une année de revenu tous les vingt ans, et ils conti- nuaient à être soumis à l'impôt de la taille. Les Juifs eux- mêmes, qui ne pouvaient pas pratiquer publiquement leur religion, ont acquis des seigneuries. On a vu un Juif allemand, propriétaire du fief de Péquigny, nommer des curés dans des églises dépendant de sa terre.
Les roturiers qui possédaient des comtés ou des marquisats fournissaient des exemples de bizarres anomalies, la plupart du temps transitoires, parce qu'ils achetaient d'abord ou des lettres de noblesse, ou une charge qui les anoblissait, et finissaient par obtenir, eux ou leurs enfants, des lettres-patentes régularisant leur position. Tout cela devenait une affaire d'argent et de temps.
Source : Archive.org - Origine des Noms Propres & Armoiries - Baron François Gilbert De Coston - 1867 (Tiré à 300 exemplaires)
En complément de ce qui précède, il existe d'autres terres dénommées " Gombert " ailleurs, en France ; il suffit de chercher un peu....
Par exemple une terre "Gombert " d'un fief, se situait dans l'Eure en Normandie, proche du Calvados, où d'autres de Gombert ont vécu avant d'émigrer au Canada et dans le Sud de France ainsi que dans les Alpes.
Il est mentionné dans les Archives sous le titre " Dictionnaire de toutes les communes du dép. de l'Eure " - Charpillon & abbé Caresme - 1868
Extrait : " En 1214, Roger de Berville, Chevalier, cède, à La Noë, les terres que les moines détiennent au Gombert dans son fief "
Source : Archive.org
Position(s) géographique(s).
La première définition précise, géographique, du village de Château Gombert a été faite par le Baron Zach en 1814, dans son recueil "L'Attraction des montagnes". Le village y est positionné avec les coordonnées :
43°21'7"6 Nord
23°6'18"9 Est
Notons que pour reprendre les travaux des Cassini, Zach, depuis son observatoir de Marseille à la Plaine saint Michel, a choisi, parmi ses points de visée, le clocher de Chateau Gombert.
Mais, où nous mènent ces coordonnées ?
Actuellement, dans un village de Bulgarie : Vratsa. Étonnant !
Pas si sûr. Le méridien de Greenwich n'existait pas alors. On utiliserait celui déterminé comme étant dans le lieu reconnu le plus "civilisé" à l'Ouest des terres occidentales. Le plus célèbre géographe de Louis XIV, Louis Feuillée, en détermina la position "0", la proposa au roi, qui accepta. Cette île "de Fer" est située dans l'océan Atlantique, au large du Sud Marocain, par 18°4' ouest.
Simple calcul : 23°6' Est (Zach) - 18°4' Ouest (île de Fer) = 5°2' , à rapprocher des coordonnées actuelles du clocher de Château Gombert : 43°21'Nord - 5°26'Est.
Carte relative aux coordonnées de l'Île de Fer
Coordonnées de Zach
4 juin 1976.
Vente par le dernier héritier de Gombert (*), de l'ensemble de la propriété située au dessus du canal, à la Ville de Marseille.
2001
Vente à un Promoteur, de la totalité de la propriété, par le Ville de Marseille.
(*) Historiquement :
8 mars 1929.
La propriété des "Gombert" occupait l'ensemble des parcelles occupées actuellement par "Les Hauts de Gombert", "La Moussière 1 & 2", "Les Allées de Palama 1 & 2".
Un partage, par tirage au sort, est réalisé entre deux frères :
Henri de Gombert, qui hérite de la partie "Nord", depuis le dessus du canal englobant la maison de Maître et ses dépendances,
Louis Guillaume Joseph de Gombert, qui hérite de la partie "Sud", depuis le dessous du canal, jusqu'à la conciergerie en bordure du chemin de Château Gombert à saint Mître, y compris la bâtisse (*) comportant les béliers approvisionnant en eau la Maison de Maître et la fontaine du village.
(*) Petite bâtisse située en face de la conciergerie, de l'autre coté de la route venant de Saint Mître, à l'entrée du village. Au droit du chemin de Palama.
Au décés d'Henri de Gombert, il laisse, outre sa veuve Marie Sigaud de l'Estang, deux enfants : une fille et un garçon:
Marie Louise Dufour, née Gombert
François Régis de Gombert, né à saint Félicien en Ardèche
Avant son décés, Marie Sigaud de l'Estang fait un partage de ses biens.
Marie Louise de Gombert aura divers propriétés appartenant en propre à sa mère,
François Régis de Gombert aura les terres de Château Gombert.
Source : archives part.
Les juifs ashkénazes viennent dAllemagne de France et d' Europe de l' Est ainsi que leurs descendants. Ce pourrait être ceux installés en Normandie et en Bretagne
Les juifs séfarades sont des juifs d' Espagne, du Portugal, d' Italie, de Grèce de Turquie ,d' Afrique du Nord et du MoyenOrient ainsi que leurs descendants. Ce pourrait être ceux installés en Guyenne et Provence.
Les deux flux migratoires se retrouvèrent dans les Alpes. Voir documents dans le site.
Les Juifs utilisèrent les villes et les régions dans lesquelles ils résidaient et d’où leur famille était issue en tant que nom de famille.
(*) Philippe, Président International de " Relais & Chateaux "
et Stephanie Gombert, sont aussi les propriétaires du château de La Treyne, situé à proximité.
A noter que l'appellation "Château de Gombert" peut prêter à confusion : Mr & Mme Gombert ne possèdent aucun titre de Noblesse
29.08.2022 19:48
Site fort intéressant. Beau travail
Eyquem Alain
Bonjour je suis sophie la petite fille de Robert bonnaud j aimerais retrouvé le texte original sur lequel vous avez basé votre article pouvez vous le l envoyer svp à sophie.fredenucci@gmail.com
Sophie Fredenucci
03.11.2020 17:47
J'ai gardé de beaux souvenirs du dancing le Bataclan. De très bons danseurs/danseuses de Bop.Des photos étaient prises devant l'entrée puis difusaient sur grand écran.J'aurais aimé les revoir ....
04.11 | 22:32
MICHEL
Pouvez-vous, s'il vous plaît, me donner le reste des adages de chaque jour de la semaine en provença
Savez-vous si les Lombardon actifs à la Martinique à la fin du XVIIIe sont de la même famille que ce
06.08.2022 14:01
Origine Historique des Bâtiments du Centre Médical , " La Souvenance " Une petite statuette orne la façade du bâtiment au dessus de la porte d’entrée. Merci pour vôtre attention.
Jean-Paul CARLIER