Catalogue des plantes endémiques
identifiées entre saint Mître et Plan de Cuques.
(extraits exhaustifs)
Honoré Roux - 1881
La pervenche (pervencho, parfois aussi nommée prouvençalo), est portée comme insigne (*) par les mainteneurs du Félibrige.
Source : Lou Trésor dou Félibrige - Frédéric Mistral
(*) Elle engage celui ou celle qui la porte au respect des traditions, tout en lui permettant d'afficher sa fierté occitane
Elle symbolise : le souvenir, la fidélité, la joie, l'amitié
A noter sur certains documents : Mistral portait sur le revers l'insigne de Commandeur de la Légion d'Honneur, remise le 30 mai 1909. A ne pas confondre avec la pervenche....
En 1848, le thym fut adopté par les démocrates (*) provençaux comme emblème de la " Montagne ".
(*) Partisans de la République Universelle Démocratique et Sociale ou de l'Utopisme républicain.
Samsoun derrabo-farigoulo ( Samson arrache thym ) Maladroit qui fait de grands efforts pour arracher une chose fixée sans y réussir, et plaisamment comparé à Samson : ; on sait que le thym est fortement enraciné dans le roc, d 'où il est bien difficile de l'arracher entier...
LA TERREUR
En 1794, la Terreur règnait à Marseille, et plusieurs portefaix s'en montraient les apôtres les plus furieux. Après la chute de Robespierre, les hommes de cette ancienne confrérie se divisèrent en deux partis. L'un, fidèle au jacobisme, reçut le nom de la Farigoule ; l'autre, composé de royalistes, républicains modérés et de thermidiriens, fut désigné sous l'appellation de Ventre d'Or.
Source : BnF - Les Rues de Marseille - T3 - A FABRE - 1868
Le Pacte : Frédéric Sorrieu
Caroubier
En 1881, cet arbre (Ceratonia Siliqua), fut identifié par Honoré Roux à l'entrée du vallon du Nègre à Château Gombert (début Ch de Palama prolongé). Cet arbre, insolite pour la région est à l'origine d'une mesure employée en joaillerie et orfèvrerie : le carat. Le carat est la graine du fruit du caroubier, qui a la particularité de toujours peser 0,2 gramme.
Source : Bnf. Catalogue des Plantes de Provence - Honoré Roux 1881.
Le lentisque, aussi appelé Pistachier lentisque ou arbre à mastic, est un arbuste de la famille des Anacardiacées. Il pousse sur les sols arides.
Au XIXèmè siècle, on pouvait encore appercevoir cet arbre entre Château Gombert, Allauch et Garlaban. L'Oliban (*) (Arbre à encens), produit une résine : le "mastic"
Ses dérivés sont dans les huiles essentielles. Certains se sont essayés à produire un " apéritif "....
(*) Lou pétélin
MYRTE. (MURTO). Sorte d'arbrisseau toujours vert à fleurs blanches et à baies rouges, d'une odeur agréable.
A Chateau Gombert, le chemin qui part des Grottes Loubière, et qui conduit à Simiane, porte le nom de fremo-mouarto, qu'on ne saurait appliquer à aucune légende locale, et qui est dérivé de Phragmos-Myrtos, " retranchement des myrtes; Certains l'ont appelé chemin de la "Femme morte"
Source : Google - Dic. Provençal / Français - JT Avril - 1839
A noter que : Le hameau de la Nert(h)e à Marseille l'Estaque vient du nom Murto qui a donné Nerthe. Les collines étaient couvertes de myrthes.
Une ancienne tradition Marseillaise voulait, que pour la Noël, le boulanger fasse cuire des pains plus gros, dans lequel une branche de myrte était mise avant d'enfourner. C'était le "Pain de Notre Seigneur" Qu'on coupait en trois, le soir de Noël, et qu'on distribuait aux pauvres. Le myrt(h)e représentait le bois de la Croix.
" le myrthe est un bois consacré à l’amour, parceque plus on le coupe plus il repousse ".
Source : BnF Gallica - Usages et coutumes des Marseillais T1 - F Marchetti 1683
CHICHOURLA, (tchitchourié) ; CHECHOU, DINDOULA, GINJOURLA, CHINCHOURLA. Jujube,frûit du jujubier. On donne quelquefois le même nom à celui du micocoulier.
CHICHOURLIER. (tchilchourlié) ; CHECHIER, DINDOULIER, GINJOURLIER, CHICHOURIER, CHICHOURLIER, GUIDOULIER. Jujubier, jujubier commun
Source : BnF - Dic. Provençal / Français - Honnorat - 1841
Lors de la fuite en Égypte, la Vierge Marie a demandé à un bosquet de menthe de la couvrir pour la protèger avec l'Enfant de ceux qui les recherchaient. La menthe refusa.
Depuis, la menthe est condamnée à fleurir sans jamais faire de graines pour se reproduire.
Avertissement.
Le texte qui suit n'est pas une incitation à consommer. Il est issu de rapports officiels du XIX siècle.
(Source : Google - Statistiques des B du Rh T4 - Comte de Villeneuve - 1829)
" Hygiène.
Ce Paragraphe doit mentionner la fabrication :
1° des objets qui ont un but direct ou indirect à la conservation de la santé de l’homme , ou à la salubrité de l'atmosphère qui l’entoure ;
2° des instrumens ou meubles (les habits) dont il se sert pour se garantir des intempéries ;
3° des médicamens composés pour guérir ses maladies.
1° Hygiène proprement dite. — Objets qui rentrent dans la première et la seconde catégorie ci-dessus.
A. Tabac. — La fabrication du tabac n’est pas fort ancienne dans ce département. Sous l’ancien régime, le monopole s'exerçait au profit du Gouvernement, et était exploité par les fermiers généraux.
En 1791, la culture fut rendue libre ainsi que la fabrication. Par suite de cette mesure, des fabriques, justement renommées, furent élevées à Marseille. Elles furent surtout en réputation pour la confection des cigares, dont elles faisaient des expéditions dans toute la France. La régie fut créée en 1811, et le Gouvernement trouvant à Marseille une tradition de bonne fabrication déjà formée et des ouvriers habiles, établit dans cette ville une manufacture qui a soutenu la renommée des tabacs de Marseille. Dans le principe, on fabriquait le tabac en poudre et haché concurremment avec les cigares; depuis l’année 1828 on a borné à ces derniers produits le travail de la manufacture de Marseille, laquelle approvisionne neuf départemens. "
NB. Durant la guerre 14 / 18, les poilus n'avaient droit qu'à du tabac de qualité inférieure : le " pétoun" ; mot issu de l'espagnol pour désigner le "Bois Vert". En fait, pétoun vient de pétoum ou petum en latin.
Le "pétoun" est souvent désigné comme étant le tabac réduit en poudre, servant à priser.....
Sercret d'Histoire : Le tabac était très "prisé" par nos poilus ; mais saviez-vous, qu'une autre plante l'était toute aussi....mais par les industriels de l'époque (et même plus tard) ?...
Il s'agit du coton ! Oui, le coton, qui entre pour la part la plus importante dans la fabrication des engins explosifs de tous ordres sur les champs de batailles. Il était tiré soit des récupérations de déchets de filatures, soit directement issu de la plante. En effet, après avoir été blanchi avec de l'acide nitrique et sulfurique, il produit une pâte de cellulose presque pure. Ce "coton-poudre" entre ainsi pour 65 à 70% dans la composition de tous les explosifs. La poudre noire "classique" : 75% de salpêtre, 12,5% de soufre & 12,5% de charbon de bois n'était plus qu'un vieux "souvenir".....
Pétuner signifie autant fumer (par la bouche), que priser (par le nez), du tabac.
CYRANO DE BERGERAC - TIRADE DU NEZ
Ed. ROSTAND - 1909
A la fin de ce mois (*), on plante dans les villages, devant la maison qu’habite une fiancée, un Mai d'amour. C'est une longue perche terminée par un bouquet de fleurs qui arrive au niveau de la fenêtre que l'on sait être celle de la chambre de la jeune fille ; quelquefois, c'est un jeune peuplier garni de rubans qui s’offre à sa vue, lorsque le matin elle ouvre les volets.
A ce moment, le prétendu, accompagné par des amis et des musiciens, exécute une aubade et chante un couplet en son honneur.
En voici quelques-uns, appropriés à la circonstance et empruntés au langage des fleurs :
POUR UNE DÉCLARATION D'AMOUR
Bello, vous representi la faligouro ; (**)
Sabès qu'ell’ es bell' en tout’ houro
, Encaro mai quand es flourido,
Vous amarai touto ma vido.
DOUTE OU SOUPÇON
Bello, vous representi la viouletto ;
Sias din moun couer touto souletto ;
Mai per iou sarié doulourous
Si din vouestro couer n'y avie dous.
PLAINTE
Vous represenli lou roumaniou
Que lou matin vous lou cuilliou.
Et que lou soir vous lou pourtavi,
Pour vous prouvar que vous aimavi ;
Mai, bello, se m’amas plus iou,
Rendés mé moun gai roumaniou.
RUPTURE
Iou vous representi l’ourtigo,
Bello, sarés plus moun amigo.
Vési qu’avés trop de pounchoun,
Maridas vousem'un cardoun
Ce qui peut se traduire ainsi :
' POUR UNE DÉCLARATION D’AMOUR
Belle, je vous présente le thym;
Vous savez qu’il est toujours beau,
Mais bien davantage quand il est fleuri.
Je vous aimerai toute ma vie.
DOUTE OU SOUPÇON
Belle, je vous présente la violette.
Vous êtes dans mon cœur toute seulette,
Mais, pour moi, il serait douloureux
Si dans votre cœur il y en avait deux.
PLAINTE
Je vous présente le romarin (***)
Que ce matin je suis allé cueillir
Et que ce soir je vous apporte
Pour vous prouver que je vous aime.
Mais, belle, si vous ne maimiez plus,
Rendez-moi mon gai romarin.
RUPTURE
Moi, je vous présente l'ortie ;
Belle, vous ne serez plus mon amie.
Je vois que vous avez trop d’épines.
Mariez-vous avec un chardon.
(*) Avril
(**) Faligoulo - Farigoulo. Le thym, plante aromatique, que l'on nomme en latin, thymus capi status.
Source : Google - La Provence, usages, coutumes, idiomes - Henri Oddo - 1902
(***) Romarin. Appelé aussi Ro(s)marin, Fenouil Marin ou Bacille.
Source : Google - Les Antiquitez de Marseille - J Raymond de Solier - 1632
Extraits du Dictionnaire Provençal / Français - Garcin 1823
Herbeto. Poirée. Poirée blanche. (Plante potagère. blettes)
Herbeto-rabo. Betterave. (Plante potagère)
Herbo deis barrugos. Verrucaire, ou barde aux verrues, ou héliotrope européen.(lichen)
Herbo de bouan home. Ormin ou toute bonne, (espèce de sauge)
Herbo de St Hounoura. Cinéraire maritime. (plante herbacée)
Herbo de Nouastro-Damo. Langue de chien
Herbo de St Jacque. La jacobée (plante herbacée)
Herbo de la guerro. Sauge sauvage, épervier des murs.
Herbo doou paoure home. La gratiole. (plante herbacée)
Herbo de St Jean. Armoise gnaphale A Marseille on entend « Herbo de St Jean » toutes plante aromatiques ou pharmacotiqnes de la saison du mois de Juin. (plante herbacée)
Herbo de pare. Pariétaire. Voyez Espargo. (plante herbacée)
Herbo de St Ignasso. Jusquiame noire ( puissant narcotique)
Herbo de perro mulet. Lunaire.
Herbo deis cats, Cataire marum.
Herbo deis sumis. Grande coussoude ou conyse ronde. (cataplasmes, décoctions, infusions, teintures mères)
Herbo deis nieros. Verge dorée, solidage (solidage des bois, herbe des juifs)
Herbo deis mascos. La germandrée.
Herbo deis touaros. L'héliotrope
Herbo dei judious. La gaude. (réséda des teinturiers)
Herbo deis rascas. Dentelaire d’Europe. V. Enrabiado.
Herbo Santo-Barbo. La barbarée,
Herbo doourato. Le cétérac, espèce de fougère.
Herbo doou pardoun. Luserne maritime.
Herbo doou siege. Le siège, scrophulaire aquatique.La scrofulaire est utilisée en traitement thérapeutique des rhumatismes et des douleurs articulaires. Elle soigne les brulures et les érythèmes solaires et fessier, la gale et les furoncles.
Herbo de la routo. Grande lunaire, ophioglosse vulgaire.
Herbo deis esternuts. Grande piloselle (Plante de l'élimination urinaire et de la perte de poids)
Herbo deis febres. Centaurée en épi ou chironie.
Herbo de la ciero. Caille lait ou mille-pertuis.
Herbo crusado. La vervène
Herbo per leis pouars. Paisson des pourceaux. Voyez Segueiroun.
Herbo Gagnar leis herbos, Les droits de pacage. «Droit (payant) de mener paître des bestiaux sur certains fonds»
Herbo rousso. Crépis Nemosensis, crépide de Nîmes, quelques amateurs la nomment Hieranum sanctum,
Herbo de la Craou. Centaurée chironie élégante
Herbo de la Pax. Rumex aquatique.
Herbo Battudo. Herbe a vent.
Herbo de la perlo. Grémil officinal
Herbo doou joounugi. Bardane à petites têtes.
Herbo de la pato. Tussilage, pas-d’âne.
Herbo coupiero. Buplèvre à fleurs arrondies.
Herbo de St Antoni. Epilobe hérissé, épilobe tétragone.
Herbo de Ste Clero. Chélidoine éclaire.
Herbo blanco. Alysson maritime.
Herbo doou fege. Renunculus tridentatus.
Herbouriaire. Herboriste, celui qui va ramasser des simples.
Herbouriar. Herboriser, aller ramasser des simples.
Hermentelo. Primprenelle (Plante)
"ERSATZ" d'huile d'olive.....
Durant la Grande Guerre, il existait, en autres besoins, deux demandes importantes pour la Nation :
a) Le coton pour fabriquer en grande quantité, la poudre à canon et autres mitrailles.
b) L' huile d'olive pour fabriquer la base des savons et autre dérivés pour traiter divers produits de nettoyage (lingerie, papèterie...)
Problèmes :
1) La presque totalité du coton qui venait des USA, approvisionnait tous les belligérants. Malgré les embargos promulgués, certains d'entre-eux s'approvisionnaient par des pays neutres.
2) La main d'oeuvre faisait cruellement défaut pour ramasser les olives, les broyer et approvisionner les savonneries de Marseille notamment.
Solutions :
Il fut décrété que le coton serait traité comme produit de contrebande s'il était destiné à approvisionner les adversaires...
Quant à l'huile, un franco-américain (Paul Aldige), eut l'idée d'en produire, à partir des graines de la plante de coton, résidu de sa séparation d'avec les filaments. Il se trouve que cette technique de production interessa fortement les producteurs de certaines savonneries. Il n'en fallait pas plus pour " sous entendre " que certains fabricants de savons " coupaient " l'huile d'olive, avec l'huile de coton....
Source : Professeur L. Houllevigue - Faculté des Sciences de Marseille - Nov. 1915
L'AMADOU (*)
L' Esclaire, ou la Grande Chélidoine
Plante commune qui se trouve généralement le long des vieux murs, sur les décombres. Fleur jaune en espèce d'ombelle. Tige contenant un suc caustique et dangereux.
Les mendiants se servaient des feuilles fraîches, pour se faire venir des ulcérations aux bras ou aux jambes, et par là exciter la commisération. Ces ulcères, superficiels et larges à volonté, se guérissaient facilement en les couvrant avec des feuilles de poirée (plante entre la blette et la mache). Les gueux, prétendus estropiés et infirmes, une fois rentrés dans leur quartier, y redevenaient sains et saufs comme par enchantement. Une variante faisait intervenir celle obtenue par une mixtion de lait, de sang et de la farine, aux Malingreux (couvert de fausses plaies) et Piètres (faux boîteux avec béquille(s).
Se dit aussi " OOUREYETTO ". s. f. Ecclaire. Felouque ou grande chélidoine. Plante. Source : Archive.org -Dic. Provençal-Français - J-T Avril - 1839
....et aussi " Dindoulièro " : Source : Nouveau Dic. Provençal / Fançais - Achard - 1785
Mais,.... quel rapport avec l'amadou ?
L'amadou est un mot d'argot de 1628. Il est issu du Provençal, mais son sens est différent Il signifie la " drogue " qui sert, en se frottant, à devenir jaune et paraitre malade. Ce mot qui veut rendre "sympathique" à une autre personne, a une nouvelle fois été détourné en 1836. Il signifie qu'une personne 'colle" à une autre....De là est issu le mot "Amadouer"...
N-B : MALINGRE, malade et malingreux, classe de gueux ayant de fausses plaies {Jargon, 1628, p. 27)
A ne pas confondre avec l'amadou qui est issu d'un champignon...
Malingreux sont ceux qui ont de maux ou playes, dont la plupart ne sont qu'en apparence) ; malingre, infirme.
Source : Archive.org - L' Argot Ancien - 1455 / 1850 - Lazare Sainéan - 1907
On notera que dans son "Trésor dou Félibrige", Mistral ne fait aucune référence sur l'origine argotique d'un autre mot : "Amadou", dans le sens "Amadouer". Il se contente d'utiliser un deuxième mot, avec tous ses dérivés, reprenant la définition " d'amener à suppuration....aboutir, en parlant d'un abcès...[ Amadu(...) ] "
Certaines définitions actuelles de dictionnaires sont déconcertantes dans le mélange des genres...
" amadou ". nom masculin (peut-être provençal amadou, amoureux, à cause de sa facilité à s'enflammer)......
GRANO DE CHAPELET. Larme de Job.
Nom du grain d'une plante étrangère (*) qui vient très-bien en Provence, et dont la semence est de la grosseur d'une fève-haricot, et de couleur grise, vernie et façonnée en larme. On en fait des chapelets qui durent longtemps.
Source : Google - Dic. Provençal / Français - JT Avril - 1839
(*) Extrème Orient (Laos......)
GREMIL. Gremil , herbe aux perles ; plante diurétique. Lithospermun
ROUSÉRO, Rosaire, sorte de chapelet qui a quinze dizaines. Du latin rosarium.
Source : Google - Dictionnaire Provençal - T2 - CF Hachard - 1785
" La femme exacte aux exercices de piété est " uno devoto dau gros grun " (est une dévote du gros grain ).
Source Google - Cris populaires de Marseille - R de la Colombière - 1868
Secret d'Histoire : Les bagues à chapelet, inventées par les chevaliers de Malte, sont défendues et on ne peut s'en servir pour gagner des indulgences qu'elles n'ont pas.
Source : Google - Traité Pratique - Mgr X Barbier de Montault - 1878
DIZAINIER SCOUT ou BAGUE A CHAPELET
29.08.2022 19:48
Site fort intéressant. Beau travail
Eyquem Alain
Bonjour je suis sophie la petite fille de Robert bonnaud j aimerais retrouvé le texte original sur lequel vous avez basé votre article pouvez vous le l envoyer svp à sophie.fredenucci@gmail.com
Sophie Fredenucci
03.11.2020 17:47
J'ai gardé de beaux souvenirs du dancing le Bataclan. De très bons danseurs/danseuses de Bop.Des photos étaient prises devant l'entrée puis difusaient sur grand écran.J'aurais aimé les revoir ....
04.11 | 22:32
MICHEL
Pouvez-vous, s'il vous plaît, me donner le reste des adages de chaque jour de la semaine en provença
Savez-vous si les Lombardon actifs à la Martinique à la fin du XVIIIe sont de la même famille que ce
06.08.2022 14:01
Origine Historique des Bâtiments du Centre Médical , " La Souvenance " Une petite statuette orne la façade du bâtiment au dessus de la porte d’entrée. Merci pour vôtre attention.
Jean-Paul CARLIER