Un vieil homme, à l'approche de sa mort, décide de partager son troupeau de 17 chameaux entre ses trois fils. L'ainé héritera de la moitié du troupeau, le cadet du tiers et le benjamin du neuvième.
Confrontés à l'indivisibilité de 17 par 2, 3 et 9, les trois frères vont trouver le sage du village. Celui-ci, fin mathématicien, leur propose une solution qui, sans avoir recours à une boucherie, respecte les volontés du vieil homme.
Comment le sage s'y prent-il pour effectuer le partage ?
...étêrp uaemahc el erèpucér egas eL
! xuaemahc 71 à evèlé's egatiréh'l ed latot eL
.xuaemahc 2 tios ,emèivuen ud aretiréh nimajneb el .xuaemahc 6 tios ,sreit ud aretiréh tedac eL .xuaemahc 9 tios ,éitiom al ed aretiréh énîa'L .xuaemahc 81 tnanetniam cnod snova suoN .uaemahc nu etêrp ruel egalliv ud egas eL
Il s'agit de trouver le lien qui existe entre : un tableau exposé en l'Église de Château Gombert, une gravure de Marseille (*), le Sacre de Napoléon. et la fresque de l'Église N-D de France à Londres (**)
Cherchons attentivement...
Premier indice qui doit donner une bonne partie de la réponse : Lire les techiques particulières d'exécutions des oeuvres dans le rubrique "Les Tableaux" de "L'Église du Village" du site.
(*) Pour plus de détails : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53181609m
(**) Il y en a d'autres, mais un minimum était nécessaire.
Les artistes se sont tous représentés sur leur oeuvre ; mais, sauriez-vous trouver le graveur sur sa représentation, en train de relever le plan de Marseille ?
Le lien pour bien chercher au zoom ! : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53181609m/f1.item
L'étude d'un document mentionnant les caractéristiques d'une ancienne fabrique de soude aux Trois Luc (La Valentine / Marseille) révèle une affirmation totalement fausse, bien que l'ensemble du contenu se révèle fort interressant.
Il y est mentionné in extenso le paragraphe suivant :
« D'ailleurs le Baron de Zach utilise, en 1810, une cheminée au milieu du toit de la maison de l'inspecteur comme signal dans ces mesures géodésiques. Zach donne à la page 654 la localisation de la soudière: 43° 18' 50,9 de latitude et 23° 8' 38,3 de longitude. Le lecteur constatera lui même, en se reportant au document 9, que la latitude est exacte mais malheureusement pas la longitude, ce qui place la soudière en plein champ près de Borovtsi en Bulgarie à 70 km au nord de Sofia.
Coordonnées exactes: 43° 18' 50,70 de latitude Nord et 5° 28' 43,28 de longitude Est »
Sauriez-vous dire pourquoi cette affirmation est fausse, et remettre au Baron Zach la vérité de ses écrits...
Source : Google - La Soudière des Trois Lucs (Marseille) - Etudes historiques et fouilles préliminaires - Gilles Olive - 2012
Le méridien fixé par Louis Feuillée (*)était situé sur l'Île de Fer.
Le Baron Zach avait donc localisé la fabrique de soude à 23° 8' à l'Est de ce point (à l'imprécision des minutes)
L'écart de longitude entre L'Île de Fer et Greewich est de 18° Ouest. Otons-les de la position donnée par Zach, nous obtenons 5° 8' Est ; ce qui est pratiquement le lieu recherché à 5' près !...
(*) Une rue de Château Gombert porte son Nom (Derrière parking de la Poste)
Tous ces mots appartiennent à notre village. En retrouvant les lettres manquantes, vous trouverez le mot " gagnant " de Renaud, cher à notre Provençe...
SOLUTION PARTIELLE 1 : MISTRAL
SOLUTIONS PARTIELLES 2
AVENUE " MON SOLEIL "
CHANTEUR CÉLÈBRE
SAINT PATRON DE L'ÉGLISE
NOBLE CÉLÈBRE
TRAVERSE DU VILLAGE
A L'OUEST DE PALAMA
CÉLÈBRE NOBLE
PROLONGE LE CHEMIN DU VILLAGE
TOURNAIENT AU CAVAOU & AU VILLAGE
SOLUTION (EN DÉSORDRE !)
UEIHTAM
TERBLAD
NATAMAS
SUBINMO
TREBMOG
SNILUOM
STERUOM
OIMELOS
SNEIRES
Une personne a dans une main un nombre pair de jetons et dans l’autre un nombre impair.
Deviner en quelle main est le nombre pair.
SOLUTION
.eriartnoc el ares ec ,riap tse latot ec iS
.ehcuag al snad riapmi’l te
etiord niam al snad tse secèip ed riap erbmon el ,riapmi tse latot el is
; semmos xued sel retuoja setiaf
; elpmexe rap 3 uo 1 ,riapmi erbmon nu rap ehcuag niam al ed erbmon el te
,elpmexe rap 2 ,riap erbmon nu rap etiord niam al ed erbmon el reilpitlum setiaF
Une bouteille et son bouchon valent 11 euros.
La bouteille en vaut 10 de plus que le bouchon.
Combien vaut la bouteille et combien le bouchon ?
.. / ..
! € 05,01 = 01 + 05,0 : tiaf ellietuob al ,€ stc 05,0 = nohcuob is
5,0 = b
1 = b x 2
01 - 11 = b x 2
11 = 01 + b x 2
11 = b + 01 + b
11 = b + ( 01 + b )
1 snad ( 01 + b ) rap A ecalpmer nO
( 01 + b = A ) 2
( 11 = b + A ) 1
nohcuob eL : b
ellietuob aL : A
SOLUTION
La cloche du campanile de Château Gombert sonne les six coups de dix-huit heures en six secondes.
En combien de temps sonne-t'elle les douze coups de midi ?
SOLUTION
Ertne el reimerp puoc te el emèixis, li y a xis sednoces ; tios ruop sel qnic sellavretni : enu elugriv te xued ednoces ertne xued spuoc.
Ertne el emèmixis te el emèizuod puoc, suon snova xis sellavretni ; tios tpes elugriv xued sednoces. Latot ertne el reimerp te el emèizuod : eziert elugriv xued sednoces !
Eriaf siort stol ed siort sellib. Resep xued stol. Xued sétilibissop : Al ecnalab tse eérbiliuqé, no aresèp srola el emèisiort tol. Al ecnalab tse eérbiliuqéséd, no esèp el tol el sulp druol. Ruop sel xued stol sétcepsus, no evèlérp xued sellib. No sel erapmoc. Is al ecnalab tse eérbiliuqéséd, no tiannoc al ellib al sulp edruol. Is al ecnalab tse érbiliuqée, tse'c al etnatser iuq tse al sulp edruol !
Ceci n'est pas un problème "habituel". En fait, c'est un "jeu de l'Esprit" en guise de récréation...
Charles-Quint s’arrêta, un jour, dans un monastère de Catalogne dont les moines avaient une grande réputation d'esprit et de savoir. Soit qu’il fût bien aise de s’assurer par lui-même jusqu’à quel point cette réputation était fondée, ou qu’il se fit plaisir d’embarrasser les bons Pères, l’Empereur, répondant à leurs compliments, les félicita sur l'érudition qu’on leur attribuait et que semblait confirmer l’importance de leur bibliothèque. Il conclut en disant qu’ayant compté sur leur sagacité, il avait résolu de leur proposer trois questions.
Voici les trois problèmes posés par le monarque :
1*— Quel est le milieu de la terre ?
2* — A quel prix m'estimez-vous ?
3* — Qu’est-ce que je pense ?
Les bons religieux se regardèrent avec un embarras évident ; l’éclair ne put jaillir de ces cerveaux exercés à d’arides études, mais peu préparés à ces bizarres questions. " Sire, objecta enfin le Père Abbé, Votre Majesté comprendra sans doute que ces réponses demandent quelques réllexions... "
— " Je n’en fais nul doute, répondit Charles, et je vous accorde jusqu’à demain midi, heure de mon départ, pour méditer sur ce que je vous ai demandé. "
Auriez-vous toutes ou partie des réponses ?
Les lectrices ou lecteurs nous pardonneront cette lecture qui peut paraitre fastidieuse..., mais elle s'avère pleine de malice !
" Ce furent des heures d’angoisse pour toute la Communauté que celles qui s’écoulèrent jusqu’à ce moment fatal ; nul d’entre les religieux ne dormit celle nuit-là. Le soin de traiter dignement un hôte aussi illustre et sa suite n’était pas leur plus grand embarras, car ils savaient et pouvaient exercer au besoin une magnifique hospitalité. Le Père Abbé, que regardait principalement le devoir de faire à l'Empereur-Roi les honneurs de la maison, avait dû se reposer sur les plus doctes d’entre ses disciples, du soin d’examiner les problèmes spécieux qui leur avaient été proposés. Ils avaient passé le reste du jour et la nuit tout entière à se tourmenter l’imagination et à compulser les livres et les manuscrits où ils croyaient pouvoir découvrir quelque trait de lumière. La crainte de perdre à la fois la faveur du monarque et la renommée du monastère les torturaient également. La matinée s'avançait sans qu'on eût fait un pas de plus dans ce labyrinthe de difficultés, lorsque le barbier du couvent vint pour y remplir ses fonctions ordinaires. Il fut frappé de l’altération de tous ces visages, habituellement épanouis. Les barbiers sont d’ordinaire familiers, insinuants, indiscrets et malins. Celui-ci, sous forme d’affectueux intérêt, chercha à savoir des bons Pères la cause de leurs tourments et fit tant et si bien que, sa perspicacité venant en aide aux aveux incomplets qu’il sut arracher, il fut bientôt parfaitement au courant de la situation. " Comment, mes Révérends Pères", s’écria- t-il, "vous qui êtes des gens de tant d’esprit, vous voilà embarrassés de si peu de chose, tandis qu'un ignorant, comme votre humble serviteur ne désespérerait pas réussir !" Les pauvres religieux, qui, tels que les marins près de périr, étaient disposés à s’accrocher à toute planche de salut, s'empressèrent d’interroger le barbier. "Ceci est mon secret", répondit le digne ancêtre de Figaro ; "mais, prêtez-moi seulement un de vos costumes et ne vous inquiétez plus de rien". A l’heure de midi, le Chapitre était assemblé et Charles-Quint, entouré des seigneurs qui l'accompagnaient, venait s’asseoir à la place d'honneur qu’on lui avait préparée, Une légère teinte de malicieuse ironie se voyait sur la physionomie du monarque el l’anxiété n'avait pas entièrement disparu du visage des religieux, malgré le calme qu'ils s’efforçaient de montrer. Un moine sortit de leurs rangs, s’avança vers l’Empereur et accomplit, avec beaucoup d’aisance, les salutations exigées par le cérémonial catalan. — "C'est vous, mon Révérend Père, qui vous chargez de porter la parole au nom de votre Communauté", dit le monarque ; "vous allez donc me fixer sur un point qui a toujours été des plus problématiques pour moi : Quel est, à votre avis, le milieu de la terre ?" — "Le milieu de la terre est l’endroit où vous êtes, Sire", répondit le moine avec assurance. — "Comment, répondit le prince en fronçant le sourcil, voici qui ressemble un peu à une flatterie ; pourriez-vous, mon Révérend Père, me donner quelques preuves de ce que vous avancez ?" — "Certainement, Sire ; cette preuve, nous l’avons depuis que, sous les auspices de vos augustes aïeux Ferdinand et Isabelle, Christophe Colomb a découvert que la terre était ronde. Cela est si vrai, que si l’on mesurait depuis le lieu où vous vous trouvez jusqu’à vos antipodes, on rencontrerait de tous côtés exactement la même distance. Vous êtes donc, Sire, au milieu de la terre, et chacun de nous, dans quelque endroit qu’il se trouve, peut en dire autant". La satisfaction du roi était visible et les moines se rassuraient par degrés. —"Ceci est une démonstration mathématique à laquelle il n’y a rien à répliquer", reprit Charles; "mais la seconde question me paraît beaucoup plus embarrassante". Les courtisans, cherchent sans cesse à m’exagérer ma propre valeur; d’un autre côté, l’humilité chrétienne veut qu’on ait une humble opinion de soi-même ; entre ces deux extrémités je voudrais prendre un moyen terme et c’est pourquoi j’ai entrepris de vous demander ce que je puis valoir." — "Il est trouvé, Sire, ce moyen terme, et j’espère satisfaire Votre Majesté par une évaluation qui s'accorde à la fois avec l’humilité chrétienne et l’honneur qui est dû à l’éminence de vos qualités personnelles et de votre rang ; je crois donc, Sire, répondre, autant que possible, à toutes ces exigences, en vous estimant vingt-neuf deniers." Le prince ne put s'empêcher de bondir sur son siège, puis il se mit à rire. — "Vingt-neuf deniers ! voilà une singulière estimation ! " Et les courtisans de manifester leur indignation par des murmures. Charles leur imposa silence d'un geste. — "Soit," continua-t-il, "pour vingt-neuf deniers, si vous pouvez m’expliquer cela de manière à n’admettre pas de réplique." — "Assurément, Sire; Notre Seigneur a été vendu et acheté trente deniers par des gens disposés à ne reculer devant aucun sacrifice et qui avaient tout intérêt à s’assurer de sa personne. Votre Majesté ne peut avoir la prétention de valoir plus ni même autant que l'Homme-Dieu. Par conséquent, c’est vous placer aussi haut que l’humanité peut raisonnablement prétendre, en ne vous estimant qu'un denier de moins que Notre-Seigneur." — "A merveille !" s’écria le roi ; "seigneur moine, vous surpassez jusqu'ici mon attente et vous soutenez dignement la réputation de la Communauté. Toutefois, je vous attends à la troisième épreuve, elle est la plus embarrassante et je vous tiens pour bien habile si vous en sortez victorieux. Pourriez-vous donc, à cette heure, révéler ce que je pense?" — "Ce que vous pensez, Sire ? Vous pensez que c’est un religieux qui a l’honneur de vous parler dans ce moment, tandis que c’est seulement votre indigne serviteur, le barbier du couvent." Et, en même temps, le moine improvisé rejetait son capuchon en arrière, laissait tomber son froc et se montrait dans l’humble costume de sa profession. Toute la Communauté aurait voulu rentrer sous terre ; mais, qui se mit à rire de bon cœur ? Ce fut Charles-Quint. Chacun crut voir un gage d’indulgence dans cette franche et inextinguible hilarité, qui finit par gagner tous les assistants. Le barbier fut largement récompensé du bon quart d’heure qu’il avait fait passer au souverain, et cette munificence le mit en mesure de vivre désormais à son aise, loin du théâtre de ses exploits où, peut-être, il eût trouvé désormais plus de rancune que de reconnaissance. .
Source : La Provence Artistique 1881
Voici un petit exercice de mathématiques qui en étonnera plus d'un(e)... Il prend seulement 30 secondes, vous n'avez qu'à suivre les instructions au fur et à mesure.
1. Choisissez d'abord le nombre de soirs par semaine où vous aimeriez aller au restaurant.
2. Multipliez ce chiffre par deux.
3. Ajoutez cinq.
4. Multipliez par 50
5. Si vous avez déjà passé votre anniversaire cette année, ajoutez 1771, sinon ajoutez 1770
6. Dernière étape : soustrayez le chiffre correspondant à votre année de naissance (par ex : 1982, 2001, 2010...)
Vous devriez maintenant obtenir un nombre à trois chiffres.
Le premier de ces chiffres devrait être le nombre de fois que vous aimeriez aller au restaurant chaque semaine.
Mais à quoi peuvent bien correspondre les deux derniers chiffres ?
Faire le questionnaire avec plusieurs personnes...!
Dans une pièce, il y a quatre coins.
Dans chaque coin, un chat.
Devant chaque chat, trois chats, et sur la queue de chaque chat, un chat...
Combien y a-t-il de chats en tout dans la pièce ?
ertauq stahc. Ne teffe, euqahc tahc a déjà tnaved iul siort sertua stahc (à ehcuag, tnaved, à etiord): xuec iuq tnos snad sel snioc ; te euqahc tahc tse sissa rus as erporp eueuq
Dans un royaume fort lointain, un roi était sur le point de mourir.
Il appela ses deux fils et leur dit ceci : "Mes fils, je vais bientôt passer dans l'autre monde, mais il me faut un héritier, un seul, et vous êtes deux".
Le Roi leur proposa donc un pari pour voir à qui allait échoir le trône: "Celui dont le cheval arrivera le dernier à l'oasis sacrée se verra offrir le trône."
Les 2 prétendants s'en allèrent à toute allure et chevauchèrent pendant de nombreuses nuits pour enfin arriver à l'oasis sacrée. Arrivés à 100 mètres ils s'arrétèrent et campèrent. Ils attendirent de nombreuses nuits comme cela.
Un jour un sage arriva, s'enquit du problème des 2 princes, et leur chuchota quelque chose à l'oreille. Les 2 princes, fous de joie, éperonnèrent les chevaux et galopèrent le plus vite possible à l'oasis.
Que leur avait-il dit ?
SOLUTION
zegnahcé sov serutnom !
Comment obtenir 24 en utilisant une fois ( et une seule fois ) tous les nombres 5, 5, 5 et 1 dans l'ordre que vous voulez.
Les seules opérations autorisées sont: l'addition, la soustraction, la multiplication et la division.
Une idée ?...
SOLUTION :
qnic rap éilpitlum tuot el ,emèiuqnic nu sniom qnic
29.08.2022 19:48
Site fort intéressant. Beau travail
Eyquem Alain
Bonjour je suis sophie la petite fille de Robert bonnaud j aimerais retrouvé le texte original sur lequel vous avez basé votre article pouvez vous le l envoyer svp à sophie.fredenucci@gmail.com
Sophie Fredenucci
03.11.2020 17:47
J'ai gardé de beaux souvenirs du dancing le Bataclan. De très bons danseurs/danseuses de Bop.Des photos étaient prises devant l'entrée puis difusaient sur grand écran.J'aurais aimé les revoir ....
04.11 | 22:32
MICHEL
Pouvez-vous, s'il vous plaît, me donner le reste des adages de chaque jour de la semaine en provença
Savez-vous si les Lombardon actifs à la Martinique à la fin du XVIIIe sont de la même famille que ce
06.08.2022 14:01
Origine Historique des Bâtiments du Centre Médical , " La Souvenance " Une petite statuette orne la façade du bâtiment au dessus de la porte d’entrée. Merci pour vôtre attention.
Jean-Paul CARLIER